Un vocabulaire nazi bien assumé
Niki Lauda est l’un des Autrichiens les plus adulés dans son pays. Après sa carrière de formule 1, il est devenu un homme d’affaires, à la tête aujourd’hui d’une compagnie à bas prix. Il occupe régulièrement la une des journaux, lorsqu’il se remarie, lorsqu’il reçoit un rein de son frère ou son amie, à la naissance de ses enfants ou simplement pour donner son avis sur le nuage du volcan islandais, bref, c’est une star locale qui bénéficie d’une très large audience.
Samedi 15 mai, commentant le Grand-Prix de Monaco pour une chaîne privée allemande, il a parlé d’un pilote polonais en utilisant la dénomination très péjorative, « Polacke », qui avait cours à l’époque nazie (permettant la rime entre « polonais » et « cafard (Kakerlake) »).
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