Interlude sportif
Mon 26ème marathon(*) a été l’occasion d’un billet rédigé pour nonfiction.fr dans une perspective visant à lier la course à pied aux sciences humaines.
Pour l’aspect sportif c’est ici et pour ce billet, c’est là !
(*) depuis novembre 2003 🙂
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BRAVO Jérôme!
Un droit de réponse pour ceux qui font le zouave sur des glaciers ou qui descendent l’Amazonie en canoë.
« Pas besoin de faire le zouave sur les glaciers ou de descendre l’Amazone sur un canoë » Qui fait plus le zouave : celui qui descend « tranquillement » l’Amazonie en canoë sans témoins ou celui qui a besoin de spectateurs pour courir ses 42km ?
Je cours depuis près de 25 ans, mais j’ai surtout eu le bonheur de découvrir et faire d’autres sports de pleine nature. Ceci m’a permis d’éviter le fanatisme sportif… ou le monothéisme.
Je serais bien en peine de classer sur une échelle de valeur 42km courus dans un temps que j’estime honorable, 300 m d’escalade dans les Dolomites, 60 km de ski de fond à Ramsau , 3 jours de canoë dans le parc National d’Algonquin…
Et cela m’est d’ailleurs égal. Si je dois avoir une « religion sportive » elle sera pour moi celle du plaisir et c’est la seule « croisade » que j’entreprendrais.
Bon printemps et bon marathon!
Jean-Paul Brugiere
Oui, tu as raison, j’aurais dû mieux m’exprimer. Ce que j’avais en tête, c’est
1°) le côté immoral qui consiste à aller risquer sa peau en « zouave sur les glaciers », sans les consignes de sécurité élémentaires, comme les imbéciles qui chaque été partent faire des courses en montagne quand les voyants météo sont au rouge.
2°) abîmer autant la planète en dépensant autant de kérosène pour aller descendre l’Amazone, quand justement on a des parcs nationaux en Europe qui sont splendides. Là je pensais à Yann Arthus-Bertrand qui se dit écolo et accumulant le record d’heures passées en hélico.
Sinon, par rapport à ta critique implicite du besoin d’être vu quand on court, oui, je trouve ça très sympa d’être encouragé et j’assume.
Pour la « critique implicite ».
Mon mail était une réaction à ton texte, je n’avais pas encore pris connaissance de ton mail annonçant ta participation au marathon de Vienne. Je m’interroge en général sur « celui qui a besoin de spectateurs pour courir ses 42km », moi compris (!). Je ne sais que trop l’effet que provoque une foule « applaudissante ». Même si dans le cas d’un marathon je n’y vois que des points positifs, je ne peux m’empêcher de me poser certaines questions. Je suis tellement critique par rapport à l’enthousiasme collectif autour d’un match de foot, n’y voyant que fanatisme et retour à la « belle époque » des combats de l’arène, qu’il me faut bien aussi avoir un regard critique par rapport à un sport que j’aime et … vénère (oupsss, me voila bien fanatique 😉
JPaul, un marathonien qui sait qu’il fera déjà trop chaud dimanche.